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Légendes Du Monde

26 novembre 2007

Les Larves Mammaires

Une femme qui a été en Amérique du Sud a été piquée au sein par un insecte tropical. Quelques semaines plus tard, elle commença à avoir des douleurs au niveau du sein. Elle alla voir son médecin qui lui dit que ce devait être une éruption cutanée et il lui donna une crème. Une semaine plus tard, elle revint le voir se plaignant que la douleur était devenue encore pire et que la crème n'avait rien fait. Le médecin lui recommanda un autre docteur spécialiste des cancers du sein pour voir s'il pouvait l'aider, malheureusement, il était en vacances pendant 2 semaines.

Les douleurs étaient si intenses que la femme banda son sein. Elle attendit que les 2 semaines passent et alla voir le médecin spécialiste. Quand elle lui raconta son histoire, il lui demanda d'ôter son bandage. Une fois enlevé, ils furent stupéfaits de trouver 9 trous dans la région du téton, avec des larves bougeant à l'intérieur. Apparemment, l'insecte a pondu ses oeufs dans son sein, ils ont éclos et les larves avaient commencé à se nourrir de la graisse contenu dans le sein.

Le docteur l'emmena immédiatement en chirurgie où ils enlevèrent les larves. Ils constatèrent que les trous faisaient 5 cm de profondeur.


Voici un autre exemple du phénomène internet : quelqu'un rend une image disponible sur le net, elle commence à circuler dans les boites mails, les origines de la photo se perdent, les gens commencent à raconter des histoires pour expliquer l'origine de cette image, et ces explications se retrouvent dans le mail qui circule.

Cette image est apparue vers Juin 2003 (sur un site web collectionnant les images manipulées). Aucune infection ne peut engendrer un tel exemple, et le sein que l'on voit sur cette photo est trop en bonne santé pour être infecté. Il n'a ni rougeurs, ni inflamation, ni nécroses.

Par contre, il circule maintenant une vidéo, dans laquelle l'on voit une femme se faire retirer des larves depuis son sein infecté (cela aurait inspiré la photo ci-dessus?). Cette vidéo, aussi horrible soit-elle, est vraie. Une femme africaine se fait enlever pas moins de 14 larves de C. anthropophaga (ou mouche Tumbu). Une semaine après l'extraction, son sein ne porte quasiment pas de cicatrice.

Âmes sensibles, s'abstenir


Enfin pour conclure, un cas de myasis du sein est très rare. Donc pas de panique si vous voyagez dans les zones tropicales ou la mouche Tumbu est présente. Si toutefois vous n'avez pas toujours pas confiance, repassez les vêtements lavés sur places  et ayez une bonne hygiène personelle (mais la, il n'y a pas de problème) .

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26 novembre 2007

La légende du clown serial-killer

Un couple avait décidé d'aller au restaurant pour la soirée, et appela donc donc une nouvelle baby-sitter pour garder leurs enfants. Mais une heure après leur départ, ils réalisèrent qu'ils avaient oublié de donner leur numéro de téléphone où pouvait les joindre la baby-sitter. Ils l'appelèrent donc.

Après qu'elle eut marqué leur numéro, elle leur demanda si elle pouvait aller dans leur chambre regarder le satellite. Elle venait juste de mettre les enfants au lit et voulait voir une émission. (Les parents avaient installés le satellite uniquement dans leur chambre pour ne pas que leurs enfants ne regardent n'importe quoi à la télé.)  

 

Ils lui répondirent qu'il n'y avait aucun problème à cela. La baby-sitter leur demanda aussi si elle pouvait cacher ou mettre un drap sur la statue en forme de clown, parce qu'elle la rendait nerveuse.

"Prenez les enfants et allez chez les voisins tout de suite. Nous n'avons pas de statue en forme de clown à la maison. Nous appelons la police" répondirent les parents. La police attrapa le clown alors qu'il s'enfuyait à travers le voisinage.


Quelquefois, le clown est décrit comme étant petit, et se révèle être un schizophrène, et quelque fois, ce sont les enfants qui ont peur de la "statue".

Mais avant de classer cette histoire comme étant du folklore, rappelons-nous cette histoire véridique, d'une statue attaquant quelqu'un. En 1992, à Noblesville, Indiana, USA, une statue de Ronald Mc Donald est tombée sur une fillette de 6 ans, lui arrachant le bout des doigts de la main. elle fut operée mais la fillette garda un petit doigt malformé. Elle reçut 41400$ de dommages.

26 novembre 2007

Le Légende de Oochigeas

La Légende De Oochigeas


Il y avait une fois un village indien Malécite sur le bord d'un lac sur la terre des Wabanaki, et dans ce village vivait trois soeurs. Les deux filles plus âgées, Oona et Abit, étaient belles et fières, mais la plus jeune, qu'elles ont appelé Oochigeas, était timide et sans éclats. Elle souffrit beaucoup de l'égoïsme de ses soeurs, mais supporta touts leur traitement sans plainte.
   

Puisque ces filles n'avaient eu aucun parent, les chasseurs de la tribu leurs donnaient de la viande en échange pour faire la poterie. Par beaucoup de pratique, elles étaient devenus les meilleurs fabricants des pots dans le village. Et voici comment ils s'y prenaient. Premièrement Oona, la plus agée, tissait un panier des éclisses du bois de frêne , puis Abit les enduisait d'argile humide. Finalement, il était donné à la plus jeune fille pour durcir dans le feu. Comme l'argile cuit lentement au four, le vent soufflait le feu dans le visage d'Oochigeas, et éventuellement, ses cheveux étaient brûlés légèrement près de sa tête et son visage était couvert de brûlures. Et c'est pourquoi ses soeurs se moquaient d'elle en lui donnant le nom d'Oochigeas, qui signifie « petite qui est marquée."

   

Maintenant Glooscap le grand chef connaissait tout son peuple. Il vu la misère d'Oochigeas et l'a plaignait, et il foncait les sourcils à la cruauté de ses soeurs pourtant il ne faisait rien. Et c'était quelque chose que Marten, son domestique, ne pourrait pas comprendre.

   

« Mon frère plus âgé, » dit Marten, « bien qu'elle soit sans éclat, son coeur est aimable. Ne pouvez-vous pas l'aider ?»

   

« Nous verrons, » dit le grand chef avec un signe d'assentiment sage. « Oochigeas doit s'aider d'abord. La bonté est une grande vertu, mais le courage est la première règle de mon peuple.»

   

Maintenant du côté lointain du lac, éloigné du village, là vécu un jeune indien appelé Team, qui avait la puissance merveilleuse de se rendre invisible. À tous, sauf sa soeur, il était comme le bruissement d'une feuille dans la forêt, un soupir de vent dans les cimes d'arbre, ou souffle d'air dans les cieux. Son nom signifiait « orignal » et l'orignal étaient son teomul, ou charme, qui lui avait donné sa puissance. Avoir cette puissance magique, Team n'eu besoin d'aucun arc et flèche. Il pourrait marcher directement jusqu'au gibier, sans être vu ou entendu, et le tuer avec ses mains nues.

   

Un jour, la soeur de Team  apparut dans le village.

   

« Mon frère est fatigué de vivre seul , » dit elle au gens. « Team épousera la première fille qui pourra le voir .»

   

Maintenant, bien qu'aucune personne n'avait vu Team, ou s'il était grand ou court, gros ou mince, sans éclat ou beau, pourtant elles connaissaient sa puissance magique et son grand succès à la chasse. Aux Indiens, qui vivaient de la chasse, un brave qui peut avoir de la viande dans sa loge en tout temps est admiré par tous. Il est un genre de prince. Il n'est pas surprenant que chaque demoiselle du village aspire à devenir la mariée du garçon invisible.

   

Toutes les jeunes filles célibataires étaient désireuses d'essayer leur fortune et, l'une après l'autre, chacune fit une visite à la loge de l'autre coté du lac. Et, l'une après l'autre, chacune revenu déçu. Enfin, toutes avait fait la tentative excepté les trois soeurs.

   

« Maintenant c'est mon tour, »  dit Oona. « Je suis sûr que je pourrai le voir.»

   

« Vous en effet !» renifla Abit. « Je suis aussi certaine de pouvoir le voir que vous. Pourquoi devriez-vous y aller d'abord ?»

   

« Je suis l'ainée !»

   

« Team est certain de vouloir une plus jeune femme !»

   

Les deux soeurs se regardèrent l'un l'autre.

   

« Vous n'avez pas besoin de  penser que je vous laisserez partir seul »   Oona avoua en colère.

   

« Alors nous  irons ensemble, » dit Abit. Et ainsi firent-elles.

   

S'habillant dans des robes longues les plus fines, ils partirent au loin pour la loge de l'autre coté du lac. La soeur de Team les reçurent avec bonté et les enmenas au tipi pour s'y reposer après leur voyage. Puis, quand il fut temps pour le retour de son frère, elle les amenas au rivage.

   

« Voyez-vous mon frère ?» elle leurs demanda.

   

Les deux filles regardèrent ardemment au-dessus du lac. Ils vit un canoë s'approcher, mais bien qu'il se soit déplacé rapidement sur les eau, il semblait être vide ! Aucune rames ne pouvait être vue, parce que tout ce que Team tenait ou portait devenait également invisible.

   

Abit  pensa en  elle-même qu'elle feindrait pour le voir, et la soeur deTeam n'en saurait jamais la différence.

   

« Je le vois !» elle cria.

   

Et Oona, afin de ne pas être surpassé, fit écho, « oui ! Je le vois aussi !"

   

La soeur de Team sut qu'au moins une des filles mentait, parce que seulement une jeune fille pourrait voir son frère et qu'elle serait sa future mariée.

   

« De quoi sa courroie d'épaule est-elle faite ?» elle  demanda.

   

Les deux filles pensèrent pendant un moment. Ils savaient que, généralement, les Indiens emploient le cuir ou l'osier pour leurs courroies d'épaule.

   

« Une bande de cuir, »  devina Abit.

   

« Non, de l'osier!» s'écria Oona.

   

Alors la soeur deTeam sut que ni l'un ni l'autre n'avaient vu son frère et elle décida de  les punir pour leur malhonnêteté.

   

« Très bien, » elle  dit tranquillement. « Venez au tipi et aidez-moi à préparer le dîner de mon frère.»

   

Les deux filles étaient impatientes de savoir lesquelles d'entre elles avaient donné la réponse correcte, ainsi elles suivirent la soeur de Team et lui aidairent à préparer le repas. Chacune espérait qu'elle serait seule à voirTeam quand il arriverait. Quand tout fut prêt, la soeur de Team avertit les filles de ne pas s'assoir dans la place de son frère mais de rester de son côté du feu. Puis, en levant son regard, elle salua son frère mais les filles ne pouvaient voir personne.

   

« Prenez la charge de viande de sur les epaules de mon frère , » dit-elle à Abit, qui regardait autour d'elle consternée. Tant que la viande était sur l'épaule de Team, elle ne pourrait pas être vue. Soudainement, une grande charge de venaison chuta de nulle part sur les orteils d'Abit. Abit cria et sortit de la loge en douleur et effroi. Maintenant la soeur de Team dit à Oona d'enlever les mocassins humides de son frère et les mettre à sécher. Naturellement Oona ne pu faire ainsi. Une paire de mocassins humides vint soudainement traverser dans les air et la gifla à travers le visage. Alors Oona aussi se sauva, pleurant avec mortification.

   

« Ma mariée tarde à se faire connaitre, » soupira Team. « Et ces jeune filles avaient l'air très bonnes.»

   

« patience, mon frère. Vous devez en avoir une qui est brave et honete, ainsi wue belle, et une telle  n'est pas encore venu .»

   

Abit et Oona retournèrent à la maison pour exhaler leur fureur et dépit sur la pauvre Oochigeas . Pour échapper à leur cruauté, elle se sauva dans les bois et là, dans un endroit reculée, se soulaga le coeur avec des larmes. Mais quand il n'y eu plus aucune larme, et son esprit avait été calmé par la paix de la forêt, Oochigeas commenca à penser. Maintenant que ses soeurs avaient échoué, elle était la seule jeune fille dans le village qui n'avait pas essayé de voir le garçon invisible. Cependant, si ses bonnes soeurs avaient échoué, quelle chance avait elle, pauvre et tout simple qu'elle était ? Un grand chasseur comme Team ne souhaiterait pas une fille dont la face était marqué comme celle d'Oochigeas comme mariée. Tous mêmes, l'espoir remuait en son sein. Son coeur commenca à battre rapidement à la pensée d'aller à la loge de Team. Elle n'avait aucun vêtements fin à porter. Ses soeurs pourraient essayer de l'arrêter. Le gens rirait. Celal prendrait du courage.

   

Son idée était faite !

   

Oochigeas recueilla des feuilles d'écorce de bouleau et découpa une robe et un chapeau et des jambières, et les cousèrent avec de l'herbe. L'habillement était raide et maladroit, et il crépita quand elle marcha, mais ca la couvrait. Alors elle alla à la maison et trouva une paire des mocassins jetés d'Oona. Ils étaient énormes sur ses petits pieds et elle dût les attacher dessus en enroulant les cordes autour de ses chevilles. Elle était vraiment surprenante , et ses deux soeurs la regardèrent fixement avec stupéfaction.

   

« Où vas-tu dans cet habillement ridicule ?» Oona demanda.

   

« Je vais à la loge de Team, » Oochigeas répondit.

   

« Quoi !  fille idiote ! Revient !»

   

« OH, laisse la faire, »  dit Abit. « Laisse les gens la voir et elle reviendra assez tôt, en larmes.»

   

Le chemin d'Oochigeas passait par le centre du village, et les hommes et les garçons criaient et railliérent d'elle.

   

« Honte, honte !»

   

« Créature laide !»

   

« Voyez comment ses mèches de cheveux brulés sortent de sous son  chapeau !»

   

« Pourquoi porte-t-elle l'écorce de bouleau au lieu des peaux ?»

   

« Reviens, Oochigeas. Où pense tu aller comme cela? Pour voir Team ?» Et ils rièrent tellement qu'ils se roulèrent sur le sol.

   

Mais, bien que son coeur était brûlé par la honte, Oochigeas feigna de ne pas entendre, et marcha avec la tête haute, jusqu'à ce qu'elle fut hors de leur vue. Alors elle se dépêcha par les bois et autour du bord du lac, essayant de ne pas penser à l'épreuve en avant. Sans aucun doute la soeur de Team rirait d'elle aussi. Elle continua, et arriva enfin à la loge et vit la soeur de Team à la porte.

   

« Je suis venu, » Oochigeas haleta avant que l'autre put parler, « je suis venu pour voir Team si je peux.» Et elle regarda la soeur de Team d'un air supliant.

   

« Entrez et reposez-vous, » dit la soeur de Team doucement, et Oochigeas pleura presque à cette bonté inattendue, mais elle parvint à garder sa dignité pendant qu'ils attendaient dans le silence du coucher le soleil. Alors la soeur de Team l'amena au lac.

   

« Voyez-vous mon frère ?» elle  demanda.

   

Oochigeas regarda et vut un canoë, vide. Elle entendit l'immersion d'une palette et le bruissement de l'eau à la proue, mais bien qu'elle ait regardée avec de tout ses forces, ellene vit personne. Elle chuchota avec un coeur lourd, « non, je ne peut pas le voir.»

   

« regard encore, » dit encore la soeur de Team, par pitié, et à cause que la fille avait jusqu'ici étée sincère. Oochigeas regarda une fois que plus le canoë, et soudainement sursauta.

   

« OH ! Oui ! Maintenant je le vois !»

   

« Si vous le voyez, » la soeur de Team demanda rapidement , « de quoi sa courroie d'épaule  est-elle faite ?»

   

« Pourquoi, il est fait d'un arc-en-ciel, » s'émerveilla Oochigeas, et la soeur de Team sut que son frère avait trouvé sa mariée. Elle mena la fille de nouveau au tipi et la dépouilla de ses vêtements laids, la baigna , et l'habilla de peau de chevreuil, puis lui donna un peigne pour ranger ses cheveux.

   

« Hélas, » pensa Oochigeas, « j'ai si peu de cheveux à peigner, » mais quand elle pressa le peigne contre sa tête, elle trouva à sa stupéfaction que ses cheveux avaient poussés soudainement long et épais. De plus, les cicatrices de son visage avaient disparus. Elle était belle !

   

Alors le beau jeune homme Team arriva, riant, et pleurant « enfin je vous ai trouvé, ma belle mariée.» Et il l'enmena à la place de l'épouse dans le tipi. Et à partir de ce jour dorénavant, Oochigeas, Team et la soeur de Team, vécurent leurs jours dans la paix et le bonheur.

   

Lointain sur le Blomidon, Glooscap regarda Martin avec un sourire sage. Il savait pendant tout ce temps, vous savez, qu'Oochigeas avait du courage sous sa gentillesse et un esprit brave rendant toutes les choses possibles.

   

Et ainsi il s'est produit. Kespeadooksit.

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